Départ mercredi 3 avril. Les semaines précédentes ont été ponctuées d’au revoir, plus au moins difficile, mais toujours avec cette impression que l’on ne partira pas. Le sac à faire et défaire, essayer de tout caser, s’apercevoir que non, on ne pourra pas tout prendre et au final, dormir 1h30.. 17kg pour le sac principal, 6kg pour le petit : sûr, je vais me muscler !
2h de trajet en train direction Charles de Gaulle, on tente de dormir un peu, sans succès.
Le premier vol était direction Kuala Lumpur, en Malaisie. 11h de vol.
Bilan : quelques heures de sommeil, des cacahuètes, 4 films, des petites balades pour passer le temps. Finalement, c’est passé assez vite. Sinon, on a bien compris, « prendre de la drogue en Malaisie entraine la peine de mort », on nous l’a bien répété avant de de débarquer.
Escale à Kuala Lumpur :
On sent déjà que le temps n’est plus le même, et là, ce sont des palmiers qui bordent la piste d’atterrissage. Le temps de se dégourdir les jambes, de trouver de l’eau, d’enlever ce satané pull, on part direction notre 2ème vol, direction Dempasar, à Bali.
3h de vol, discussion avec la voisine Américaine, la moitié d’un film et l’on est déjà en train d’atterrir. On se demande ou le pilote va trouver la piste car l’on descend fortement, mais toujours l’océan à perte de vue.
Et là, la chaleur. On récupère nos sacs, paye le visa et allez, on y va ! Et là, on comprend que la France est bien loin : l’impression d’avoir un sèche-cheveux braqué sur soit, dès la sortie de l’aéroport. Et oui, toujours le jogging et le kway. Encore en train de se demander pourquoi on est pas parti en short…
Taxi trouvé, on part direction notre hôtel..